To blog or not to blog ? That is the question

Depuis quelques mois, je suis passé d’une moyenne d’un billet hebdomadaire à un billet mensuel. C’est beaucoup plus facile et je ne m’étais pas fixé d’objectif quantitatif.
Mais en fait, ces derniers temps, je n’avais pas vraiment de motivation, pas vraiment de temps à y consacrer (ou plutôt la volonté de le consacrer à d’autres choses même totalement futiles), bref, le cœur n’y était plus.

Dans le même temps, Cyrille ne cesse de nous répéter que les blogs c’était le bon temps, que tout le monde arrête, toussa...
Heureusement, Olivier préfère voir le bon côté des choses en me sollicitant dans les exemples de blogs qu’il aime suivre et surtout pourquoi c’est plus intéressant que les réseaux sociaux très volatiles. Cela me redonne un peu de courage pour partager à nouveau un peu plus souvent mes réflexions. En plus, l’été, comme les enfants sont en vacances, j’ai un peu plus de temps en soirée.

Par ailleurs, je me suis rendu compte qu’au cours des deux années d’existence de ce blog, j’ai eu tendance à augmenter la taille de mes billets ce qui fait que, outre le fait que ceux qui lisent des contenus de moins en moins longs n’arrivent plus à enfiler plus de quelques paragraphes, cela me prenait de plus en plus de temps pour la rédaction des billets, soit presque le temps de se mâter un film, alors que le but est de mettre mes pensées du moment par écrit et de les partager.

Je vais donc essayer de faire des post plus courts, quitte à reprendre les idées là où je les ai laissé au fil des billets et ainsi pouvoir en mettre plus souvent et entretenir une relation moins épisodique avec mes quelques lecteurs.

Ce qui fait aussi que j’ai failli complètement arrêter, c’est le manque d’échanges avec les autres blogueurs car j’ai trouvé l’expérience du blog intéressante lorsqu’il y a une certaine effervescence autour d’un sujet ou en faisant des échanges croisés avec d’autres.
Merci donc à Olivier pour cet échange qui me redonne envie et nous rappelle que cet outil nous permet simplement d’utiliser notre droit à la liberté d’expression (pour éviter qu’il ne s’use) ; ensuite, si nos réflexions et astuces consignées peuvent servir à d’autres, ce sera tout bonus.

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