A la découverte de mon nouveau notebook

Pour Noël, j’ai décidé de nous acheter un nouveau notebook (ASUS X751L), en voici les raisons et les premières opérations sur la bête.

Nous sommes quatre à la maison. Deux à avoir besoin d’un ordi au moins une heure par jour pour nos activités professionnelles, moi beaucoup plus pour mes loisirs, et deux enfants : le petit pas encore beaucoup et le grand de plus en plus entre les jeux, les activités pédagogiques et les vidéos. Bref, avec un seul poste (plus un vieux notebook mais uniquement pour consulter du contenu multimédia), ça commençait à être chaud.

Comme il n’était pas à l’ordre du jour d’installer un autre poste fixe avec un bureau, un écran et tout, j’ai préféré opter pour un portable à utiliser n’importe où mais avec une fonction polyvalente (travail, loisir, jeux, vidéos) donc grand écran (17") et pas une bête de course (pas envie d’y mettre une paye) mais pas non plus du premier prix qui ne permette pas de faire tourner le premier jeu venu. J’ai trouvé le compromis avec un core i3 ayant une carte graphique GTX 850M (plutôt qu’un core i5 avec une 820M ou seulement la carte intégrée pour le même prix : entre 500 et 600€).

J’ai choisi ASUS parce que meilleure renommée qu’Acer ou Lenovo et aussi plus bêtement parce que les flèches ont de vraies touches alors que sur pas mal de notebook, elles sont tronquées (flèches haut et bas de moitié de taille par rapport à droite et gauche), ce qui est inutilisable pour jouer.

La première action a été de me faire rembourser la licence Microsoft (42€ soit près de 8% du prix quand même), surtout qu’il s’agissait d’un Windows 8. L’opération s’est déroulée sans problème, l’avantage de la marque, c’est que la procédure est rodée ; en trois échanges de mail, j’ai fourni les scans des pièces nécessaires, j’ai rempli les formulaires qui allaient bien (enfin en Word plein de macro et de police Microsoft qui changent toute la mise en page mais LibreOffice s’en ai bien sorti) et j’attends le virement qui devrait arriver.

La deuxième opération avant de commencer l’installation a été de remplacer le disque dur par un ssd que j’avais en réserve. Quand on s’est habitué à la rapidité de lancement, c’est dur de s’en passer et même si je passe de 1To à 128Go, cet ordi n’a pas vocation à faire du stockage. Pour le démontage, j’ai été un peu désorienté par le fait qu’il n’y a plus aucune trappe pour accéder au contenu, enlever batterie, disque dur ou RAM, plus rien n’est directement accessible et même une fois enlevées les 8 vis, pas moyen de soulever quoi que ce soit. Mais YouTube est ton ami dans ce cas pour éviter d’attaquer l’ordi tou neuf au tournevis et au marteau et comprendre comment la plaque du clavier se déclipse. Pour le remplacement du disque dur, aucune difficulté.

Ensuite, on passe aux choses sérieuses : BIOS, UEFI et tout le tintouin qui ont fait grand bruit il y a quelques années. Il faut savoir que tout le matériel que j’ai eu l’occasion de tater pour le moment date d’avant 2010 donc j’avais une petite appréhension de ce côté-là. Finalement, j’ai presque été déçu par un BIOS qui ressemble toujours à ses ancètres et même moins paramétrable.

Comme on n’a plus de système d’exploitation, on autorise donc le boot sur une clé USB avec tous les systèmes qu’on apprécie (merci Multisystem, faut encore que je pense à vous faire un petit don pour Noël) et c’est parti pour les tests et voir si le matériel n’est pas trop rétif à nos distro préférées.
Mais cela sera l’occasion d’un autre billet.

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