Quoi de neuf sur le libre ?

Quelques nouvelles du côté du libre et un billet qui partira sans doute dans tous les sens.

Si je continue à bloguer à mon rythme habituel au moins une fois par semaine, j’ai consacré une bonne partie de mes derniers articles à la rubrique Monde Numérique, notamment à destination de ceux qui souhaitent organiser leur veille et ne connaissent pas encore les flux rss. Ce n’était donc pas en lien direct avec le libre, c’est pourquoi je n’ai pas beaucoup alimenté le Planet-Libre ces derniers temps.

Pourtant, en ce moment, j’essaie de m’activer en coulisses avec quelques compagnons pour continuer à faire vivre la communauté intéressée par la philosophie du logiciel libre. Reste à savoir si comme dit la pub, ce qu’il fait à l’intérieur se voit à l’extérieur ?
D’aucuns diront que de toutes façons le partage c’est fini ou alors ça n’a plus que pour but de râler et de troller.

J’avais justement en tête l’idée d’un billet sur la professionnalisation de la communauté et le risque de laisser sur le bord du chemin les simples utilisateurs/amateurs qui, comme moi, ne sont pas dans les milieux de l’administration système ou du développement logiciel et qui ont de moins en moins de choses intéressantes à se mettre sous la dent ou ne comprennent rien dès le titre du sujet traité. Je laisse mijoter ça et je prends les paris que cette question est partagée et pourrait faire l’objet d’une réflexion à plusieurs plumes (je prends les candidatures et je ramasse les copies, disons mardi prochain, sur vos blogs respectifs).

Parmi les marronniers, on a eu droit il y a une bonne dizaine de jours à l’éternel débat sur qu’est-ce qu’être libriste ? Question toujours posée par celui qui se sent attaquée dans sa libritude par quelqu’un qui présuppose que le libriste devrait faire ou ne faire telle ou telle chose. Sentiment de culpabilité de ceux qui se sentent visés ou sentiment de supériorité de celui qui pense mieux faire que les autres ? Peut-être un peu des deux. Je n’ai pas pleinement pris part au débat qui se répète sans cesse et auquel j’ai déjà donné mon avis sur ce blog.
Toujours est-il qu’à la problématique selon laquelle on n’a pas de définition claire du libriste (contrairement au logiciel libre), j’ai fait cette proposition de réponse sur Diaspora* :

On ne pourrait pas tenter simplement de définir le libriste comme quelqu’un qui remplace là où c’est possible des logiciels fermés par des logiciels libres ?
Par possible, j’entends qu’il y a une alternative possible remplissant les besoins et que la personne a les compétences d’installer.

Je ne sais pas si chacun peut s’y retrouver sans s’écharper, c’est à vous de me le dire.

Voilà pour ce cours billet sur le libre en vrac, reste à savoir qu’est-ce qui est en vrac dans l’histoire ?

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